When no means yes

Jean Quatremer at Coulisses de Bruxelles discusses an interview with Tony Blair in Le Monde, and sums up better that I could the results of those French voters who voted ‘no’ to the European constitution in the hope of something better later on:

Le message envoyé par la France a été compris par ses partenaires comme étant un “stop” et non un “encore”. C’était prévisible. … En votant pour des partis extrémistes en juin 2002 (13% pour l’extrême gauche et 19% pour l’extrême droite) et contre le TCE en 2005, la France a envoyé un signal de repli sur soi. Nicolas Sarkozy et Ségolène Royal, en faisant campagne sur l’identité nationale, en ont tiré les leçons, surfant sur cette vague nauséabonde au lieu d’essayer de la contrer. Dommage.